Cg86.fr : nouveau look, nouvelle philosophie

Un an et demi après le démarrage de sa refonte, le portail cg86.fr s’affiche désormais au grand jour. Résultat : une ergonomie efficace au service de l’internaute.

Arnault Varanne

Le7.info

En janvier dernier, le site Internet du Département a enregistré 113 000 visites. Au mois de mars, la nouvelle version du portail s’est contentée de 40 000 clics. Brute, la statistique pourrait laisser penser que les internautes boudent l’outil développé par l’agence web grenobloise Business et décisions. “En janvier, les intempéries ont drainé une fréquentation importante, tout simplement parce que les gens souhaitaient savoir si les bus circulaient…”, explique Catherine Charbonnier, webmestre du Conseil général.

L’information de proximité. Voilà l’un des hameçons les plus efficaces pour harponner les Poitevins. La collectivité l’a (bien) compris. En dehors de la sacro-sainte rubrique de présentation institutionnelle du Département (élus, services…), le “CG” a privilégié des entrées de lecture par centres d’intérêt, le tout chapeauté par une rubrique “Vous et le conseil général”.


“Préoccupations quotidiennes”

Selon que vous soyez parent, jeune, senior, en recherche d’emploi, chef d’entreprise ou encore responsable d’association, le contenu des pages (dispositifs, aides…) s’adapte à votre statut. “C’est un moyen efficace de toucher les citoyens dans leurs préoccupations quotidiennes, en trois clics maximum…”, insiste Catherine Charbonnier. Dans le même ordre d’idées, le site cg86.fr promeut plus que jamais les e-services tels que l’accès à la liste des assistantes maternelles, le téléchargement de formulaires…

À court et moyen terme, le Département planche également sur la création d’un intranet, de sept extranets à destination des associations, élus, entreprises, principaux de collèges… ainsi que sur la mise en ligne d’un mini-site cg86.fr accessible à partir de smartphones. Concernant les extranets, seul celui dédié aux associations figure aujourd’hui en ligne. Le coût global de création de ces applications s’élève à 150 000 euros.
 

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